Abîme ! Abîme ! Abîme !
Voici venu le temps des anonymes
Où l'identité s'efface devant la différence qui prime et s'exprime
Rien n'est beau...
s'il n'est aussi... sublime
L'absolu devenant plus proche ou plus intime
hermano mio, hermana mia
No sigas buscando el pueblo fuera de ti mismo
no tienes ni hermano ni hermana ... Consigue ser el hermano, la hermana
de todos los estropeados, de todos los esparcidos
Quiénes no saben donde esta su propio interés
Sobrevivir o fingir vivir
No, la felicidad no se encuentra en la felicidad
Pero en el dolor
Y no triunfarán sin este dolor
Mon frère, ma sœur
Dis à ton peuple qu'il n'y a rien à instaurer
Tant que la politique n'est pas restaurée
Pas la peine de survivre tant qu'on ignore la fin à suivre
L'humanisme n'est pas assez humain
Ni l'homme assez malin
Pour tendre la main à l'autre homme
Grève générale illimitée...
illimitée comme notre pauvre liberté
Pour que le peuple se parle enfin
Qu'il ouvre ses yeux au lieu de se boucher les oreilles
Non le peuple n'a plus faim,
ni soif, ni sommeil !
Il en a ras le bol !