Abîme ! Abîme ! Abîme !
Voici venu le temps des anonymes
Où l'identité s'efface devant la différence qui prime et s'exprime
Rien n'est beau...
s'il n'est aussi... sublime
L'absolu devenant plus proche ou plus intime
Que tous ceux qui ne sont pas suffisamment éveillés...Ouvrent l'œil...
Car Ils sont surveillés, du coin de l'œil...
Qu'on ne s'y trompe pas, on ne veille pas sur nous... on nous surveille !
On ne nous protège pas... On nous épie, on nous espionne!
Pas pour nous empêcher de fermer l'œil mais pour nous empêcher de l'ouvrir...